Présente depuis l’ouverture du palm en 2007, Sabine Barret s’épanouit en tant que maître d’hôtel au restaurant Le Makassar.
Du petit-déjeuner au déjeuner, elle veille aux moindres détails, orchestrant ses équipes dans le respect et la bonne humeur.
« Un rayon de soleil le matin… ». Lorsqu’ils évoquent Sabine Barret, les hôtes du Palm tarissent pas d’éloges. C’est une véritable « perle », une femme « bienveillante et attentionnée ». Ils sont unanimes : aimable et souriante, Sabine fait partie de ces personnes que l’on rencontre toujours avec plaisir. Et cela tombe bien puisque cette charmante Réunionnaise est en contact permanent avec la clientèle du Palm Hotel & Spa. Pionnière parmi les équipes, Sabine a débuté en tant que serveuse avant d’évoluer rapidement comme chef de rang, assistante commerciale puis assistante responsable du petit-déjeuner. « J’ai eu la chance de voir et de participer à l’évolution de ce bel hôtel, raconte-t-elle. La direction nous a toujours donné la possibilité d’évoluer en interne. ».
Depuis 2018, cette dernière officie au restaurant Le Makassar en tant que maître d’hôtel. Du petit-déjeuner au déjeuner, elle organise, coordonne et contrôle le travail des commis, des chefs de rang, des serveurs mais aussi des barmen. « C’est un vrai travail de chef d’orchestre, nous explique-t-elle, je dois garantir le bon déroulement comme l’excellence du service. » Toute la matinée, Sabine Barret accueille les convives avec bonne humeur puis passe de table en table pour s’assurer que tout se déroule bien. En un clin d’œil, elle détecte le détail à corriger et, à l’occasion, intervient pour assister le chef de rang ou apporter un conseil culinaire – elle adore cuisiner pour sa famille ! C’est un vrai couteau suisse de l’hôtellerie, capable d’intervenir à chaque étape du service, mais elle veille également sur les nouvelles recrues.
« Je tiens beaucoup à accompagner nos nouveaux collaborateurs. Lorsqu’on intègre le Palm, on intègre une grande famille de 120 personnes, il est important que chacun s’y sente accueilli. Le Palm, c’est presque une deuxième maison pour moi, il n’y a que chez soi que l’on se sent bien. »